Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus… Chapitre 1er : Le Virus De L’Écriture Me Reprend. Et L’Histoire Du Docteur Sabine.

Pas érotique la première partie de ce premier texte… J’y explique juste les raisons qui m’ont amenées à commencer cette collection… Mais il y aura une suite dans la même veine que mes deux écrits d’il y a quelques années… Une plongée ethnologique… Les ethnologues sont des femmes, les sujets de l’étude, les hommes… « Une étude » agrémentée de nombreuses anecdotes… Le début de cette suite, c’est dans une grosse centaine de lignes… L’histoire du docteur Sabine.
Il y a de cela 3 ans, je m’étais risquée à quelques petits textes racontant mes pérégrinations d’infirmière, petits textes qui s’étaient finalement traduits en deux propositions au site : « le métier d’infirmière et l’érotisme, petit traité de sociologie amateur » puis « petit traité d’ethnologie amateur ». Cela m’avait fait plaisir de tenter l’écriture, de raconter mes petits souvenirs, et les réactions de tous horizons m’avaient permis de penser que j’avais plu au travers de ces textes. Je pensais en rester là…
La diversité des réactions m’a cependant fait remettre en cause ce premier sentiment. Je m’attendais, comme pour tout texte qu’on retrouve sur ce site, à quelques commentaires de lecteurs. J’ai été étonnée de recevoir des mails, ou en tout cas, de recevoir une telle quantité de mails. Je m’attendais peut-être à quelques petites réactions, mais le déferlement (d’accord, je me laisse emporter et j’exagère un peu !) de messages m’a réellement surprise. D’autant plus qu’aujourd’hui encore, cela continue… Pas tous les jours, mais très régulièrement, je reçois des messages qui me disent le plus souvent le plaisir de m’avoir lue, des messages qui font référence à des anecdotes qui sont arrivées à mes correspondant(e)s ou à des fantasmes qui sont liés à ces historiettes.
Pour ceux qui se souviennent de mes premiers textes, je vais poursuivre dans la même veine en classant ces réactions.
Une première catégorie de messages souhaitait simplement me féliciter ou me remercier pour mes écrits.

Ils avaient permis à une partie d’entre eux de fantasmer un peu différemment soit sur le métier d’infirmière soit sur des infirmières bien précises qu’ils rencontraient dans leur quotidien. D’autres insistaient sur le fait que malgré le côté légèrement érotique de certaines situations, j’avais réussi à proposer une image positive de la profession, bien loin de l’infirmière blonde et aux gros nichons, nue sous sa blouse et qui ne rêve que de violer les malades ou de se faire sauter par tout ce qui bouge dans un hôpital.
Vient ensuite la catégorie des hommes que mes récits ont véritablement excités et qui ont décidé de fantasmer sur moi. Le nombre de messages, généralement respectueux, même s’ils étaient assez explicites, qui ont exprimé ce fantasme a été une réelle surprise. La plupart des hommes qui me transmettaient ces messages avaient ou avaient eu des rapports avec l’une ou l’autre infirmière pour l’une ou l’autre raison : des maladies plus ou moins graves, des accidents divers, les avaient amenés dans des hôpitaux ou avaient conduit des infirmières à leurs domiciles. Ces hommes souhaitaient correspondre avec moi. J’ai toujours été gentille avec eux, mais en gardant la distance nécessaire pour ne pas me faire envahir, et aussi, et peut-être surtout, pour ne pas devenir leur psy ou leur confidente par correspondance. Nombreux sont ceux qui se sont faits plus envahissants. Mais à ce jour, aucun n’a poussé nos échanges jusqu’au harcèlement. Peut-être se sont-ils rendus compte des barrières que je posais. Si harcèlement il n’y a pas eu, il y a par contre eu de nombreuses tentatives d’entrer dans mon intimité. Avec la même réponse à chaque fois : « Je suis une infirmière qui aime l’écriture parfois érotique, et qui a aimé raconter des anecdotes rencontrées dans le cadre de son travail… ». Ni plus ni moins. Et certainement pas la couleur de mes cheveux ou la taille de mes soutifs ! Par contre, et il est vrai, sans que je ne lutte contre, je suis rentrée dans l’intimité de ces messieurs.
Parfois dans une intimité sentimentale, parfois dans une intimité quotidienne, mais le plus souvent dans une intimité physique… Le nombre de photos de biroutes ou d’hommes nus qui sont arrivées dans ma boîte mail a été complètement inattendu ! Rarement cependant, j’ai obtenu des photos qui associaient et visage et sexe (érigé le plus souvent). Et mes demandes en ce sens n’ont pas rencontré le succès. Une vigilance, somme toute salutaire, pour éviter de se retrouver à poil et reconnaissable sur le net probablement ! Si ces photos sont arrivées jusqu’à moi, c’est parce que dans mon second texte, je faisais allusion à un album dans lequel je collectionnais les photos de mes patients dans le plus simple appareil… Les envois visaient à améliorer la collection ! J’ai rapidement pu donner un autre statut à ces clichés envoyés, puisque je termine à ce jour mon premier album reprenant les envois de mes correspondants !
Il y a enfin la catégorie des femmes. Quelques unes pour me dire que mon approche de l’érotisme les égayait davantage que ces histoires ou pullulaient les gros nichons qui n’attendaient qu’à être malaxés avec vigueur et dans lesquelles, de grosses queues défonçaient des sexes de femmes qui ne demandaient qu’à recevoir leurs coups de boutoir si jouissifs. Mais d’autres aussi, celles qui m’ont le plus intéressées et qui m’ont incitées à reprendre la plume ce jour. Ces femmes qui m’ont contactée, se retrouvaient dans mes anecdotes et ont eu envie de me raconter les leurs. Il y a, bien sûr, eu quelques collègues infirmières, mais qui, si elles ont conforté mes dires, ne m’ont en rien éclairé sur des à-côtés croustillants que j’aurais manqués. Sauf peut-être Nathalie avec qui je corresponds actuellement et qui se retrouve plutôt elle dans le fantasme des infirmières nues sous leur blouse blanche… Et qui aime à en jouer avec ses patients… Et qui pourrait peut-être bientôt raconter ses histoires sur ce site ou un autre… Il y a eu surtout d’autres femmes qui pratiquaient d’autres métiers, métiers qui pouvaient les confronter à des nudités masculines volontaires ou involontaires.
Il y a eu plusieurs femmes médecins ou kinés qui m’ont raconté des histoires proches des miennes, intéressantes, mais qui apportaient peu d’éléments nouveaux à mes propres descriptions… Sauf deux d’entre elles qui m’ont révélé des récits véridiques bien décalés. Il y a eu des femmes de maison, des bonniches ou des femmes de ménage, comme on dit, qui ont le plus souvent eu à subir les excès de leurs patrons mâles. Il y avait chez certaines d’entre elles une rage face au sentiment que ces mecs voulaient les r ou face au fait qu’ils les abusaient concrètement. Et heureusement chez certaines le plaisir d’avoir mordu sur leur chique et d’avoir pris le dessus sur ces hommes si peu respectueux. Leurs histoires sont souvent croquignolesques ! Il y a aussi eu les responsables des vestiaires à la piscine, une vendeuse de maillots, et même une dentiste ou une enseignante !
Ces femmes, je les ai lues, je les ai entendues (par téléphone), je les ai rencontrées. Nous nous sommes amusées de nos anecdotes respectives. Beaucoup. Et je leur ai proposé de prendre à leur tour la plume parce que leurs histoires à elles étaient suffisamment délirantes, amusantes, attendrissantes, militantes que pour les raconter. Elles ne se sont pas senti la compétence de narrer ces anecdotes. Ou alors, la tentative et le résultat obtenu les ont déçues. L’une d’elle m’a alors proposé de raconter pour elle. Cela m’a intéressé et amusé. Je l’ai proposé à d’autres qui l’ont accepté avec enthousiasme. Pour la fluidité de l’écriture, pour donner de la consistance aux textes, j’ai voulu dépasser les histoires personnelles, pour regrouper certaines d’entre elles et consti des histoires parfois plus complexes mais avec un contenu qui me paraissait plus solide.
Parmi les auteurs des commentaires reçus pour mes premiers textes, Alaink se demandait s’il existait d’autres métiers qui comme le mien permettait de rencontrer de telles situations. Un autre, Nicoli, trouvait mes textes peu érotiques et trop statistiques alors qu’Œil coquin aurait plutôt publié mes deux premiers textes dans « non-érotiques ».
Les textes composés avec « mes amies en littérature » répondent à la première question. Aux lecteurs de se positionner (s’ils le souhaitent !) aux deux autres commentaires et de se demander si derrière les statistiques ne peut se cacher un soupçon d’érotisme malgré tout. Que les commentateurs patentés sachent cependant que nous qui avons raconté ces histoires, avons eu le cerveau titillé, et pas seulement dans les parties intellectuelles de ces hémisphères… Qu’ils sachent également qu’au travers de ces historiettes et du plaisir que nous avons eues à les raconter, nous avons expérimenté (une fois de plus), les liens évidents et directs entre nos cerveaux et nos petites culottes…
C’est donc cette petite collection d’histoires recomposées que je me propose de raconter dans les textes qui vont suivre Et tout de suite, pour commencer, l’histoire de Docteur Sabine.
Docteur Sabine…
Historiette dans laquelle la docteur dépasse les limites, pour une histoire finalement très sage, mais qui nous a bien amusées, dans laquelle elle commence à déshabiller de jeunes hommes…
Sabine est médecin de quartier, appréciée par ses patients pour sa compétence et sa bonhommie. La quarantaine bien entamée, elle en a vu de toutes les couleurs avec ses patients. Comme médecin, elle a été confrontée aux obsessions mâles et aux nudités diverses. Elle a géré les obsessions, et elle s’est retrouvée complètement blasée de ces nudités. C’est lors d’une conversation avec une de ses amies où elles parlaient « mecs », qu’elle s’était rendue compte combien elle pouvait être devenue indifférente à la nudité des hommes et à leurs histoires de cul, elle qui avait été si polissonne. Elle souhaitait reprendre le dessus et retrouver cette insouciance un peu canaille, tout en restant respectueuse de ses patients… Il y avait certainement de quoi faire, mais comment… Elle avait un peu perdu le fil.
C’est un soir de lassitude qu’elle est tombée sur mes petites histoires et qu’elle a eu le déclic, dont elle s’est faite une devise : « Prendre le dessus sur les hommes, tout en les respectant, et en pensant à leur propre plaisir ». C’est un peu la philosophie que comme infirmière, je m’étais assignée au cours de ma carrière.
Elle comprit vite que sa devise ne s’appliquerait pas à tous ces patients, d’une part parce que certains ne se sentiraient pas respectés et d’autre part, parce que certains d’entre eux ne lui en donneraient pas envie.
C’est ainsi qu’elle fit la connaissance d’Eric. Le jeune homme, qu’elle n’avait jamais vu auparavant, vint un jour lui demander un certificat médical d’aptitude à la pratique de son sport, en l’occurrence le Basket-ball. Elle s’était d’abord étonnée de son choix de venir la trouver elle alors qu’il devait avoir un médecin plus habituel, et il lui avait répondu très clairement qu’il avait toujours détesté son médecin de famille, qui était un ami de ses parents, mais qu’il avait toujours trouvé vicieux et les mains baladeuses. Il était maintenant majeur et selon ses parents devait maintenant se prendre en charge. Ils lui avaient donc donné l’argent de la consultation pour qu’il se rende chez le médecin de famille comme à l’habitude. Il avait décidé sans leur dire, de changer de médecin. Il habitait dans le quartier, avait repéré Sabine depuis un certain temps et l’avait surtout trouvée plutôt sympa. C’est donc assez naturellement qu’il avait choisi sa salle d’attente.
Sabine le détaillait pendant qu’il parlait. C’était un beau jeune homme à l’allure sportive. Elle était touchée par l’histoire qu’il avait eue avec ce salopard de confrère, mais en même temps, elle se sentait troublée par cette histoire. Elle flairait en effet confusément qu’en lien avec la devise qu’elle construisait encore confusément dans sa tête, elle pourrait avoir envie d’r de lui aussi…
Eric terminait d’expliquer la raison de sa présence dans son cabinet, sortait une enveloppe contenant le papier à remplir et expliquait qu’il se sentait en pleine forme et qu’une simple signature de sa part, ainsi que son cachet suffirait. Il n’allait pas la déranger plus longtemps.
C’est à ce moment que Sabine décida de prendre les choses en mains.
- Oui, bien sûr, mais ce n’est pas si simple s’entendit-t-elle répondre, elle qui souvent avait rempli sans broncher ce genre de document.
- Comme tu peux le lire là, elle avait décidé de le tutoyer, histoire d’assurer rapidement sa position dominante,
- il est bien question d’une attestation de bonne santé à délivrer après un examen complet.
Et elle indiqua sur le papier où se trouvait ce paragraphe.
- Je suis une professionnelle, et je suis consciencieuse sourit-elle.
Je vais donc d’abord t’examiner avant de signer ce papier. Si tu veux bien te déshabiller, puis venir sur la table ?
Eric ne broncha pas, trouvant normal, finalement de passer par là. Il ôta son t-shirt blanc, dévoilant un torse bronzé et dépourvu de poils, et il vint s’asseoir sur la table de consultation.
Sabine sourit à nouveau :
- Comment veux-tu que je réalise un examen complet dans cette tenue ?
Eric sourit à son tour, retira chaussures et chaussettes avant de faire glisser son jeans et d’apparaître dans un boxer blanc du plus bel effet.
Il s’apprêtait à se rasseoir à nouveau quand Sabine osa renchérir :
- Complet l’examen !
Là Eric se sentit interloqué. Elle le remarqua sur son visage. Mais Sabine l’encouragea d’un signe de tête.
- Je suis une professionnelle consciencieuse, rappelle-toi, dut-elle ajouter d’un ton gourmand car il ne se résignait pas à ôter sa belle culotte.
Le ton employé rassura probablement Eric qui se décida à enlever son dernier vêtement.
- Voilà qui est mieux s’amusa Sabine en détaillant sans vergogne le corps nu du jeune homme. Et pour vraiment installer une complicité, elle avoua :
- Je ne suis pas aussi vicieuse que ton ancien médecin, mais examiner mes patients à poil, c’est plus facile… et puis parfois ce n’est pas désagréable… c’est même très amusant… Quand tu quitteras mon cabinet dans quelques minutes, tu peux penser que je suis une vicieuse, mais je veux que tu penses que je suis une vicieuse sympa, compétente et consciencieuse.
Eric acquiesça un peu gêné, mais il ne semblait en effet pas très inquiet.
Sabine assura l’examen en y mélangeant les observations nécessaires à un véritable examen médical, d’autres observations utiles, mais non nécessaires et surtout amusantes quand elles sont réalisées sur un bel homme nu, le tout dans un esprit de détente qui plut à Eric. Cela se remarqua très vite sur son visage qui resta très détendu pendant tout l’examen. Elle le fit tenir en équilibre sur un pied, elle le fit sauter à la corde, elle lui fit lever les bras et tenir les yeux fermés pendant une minute tout en tournant autour de lui, et en osant parfois l’un ou l’autre commentaire un petit peu salace, mais qu’Eric prenait avec bonne humeur :
- Ça gigote bien quand tu sautes,… c’est bien quand ton oiseau est à l’air, c’est le premier qui m’indique quand tu perds l’équilibre,… garde bien les yeux fermés, et ne t’inquiète pas, je te regarde,...
L’examen s’est terminé. Elle a dit à Eric qu’il était en bonne santé et qu’elle pouvait remplir le papier. Elle s’était assise à son bureau, laissant Eric debout tout nu devant elle. Ce n’est que quand elle lui avait tendu le document signé et cacheté qu’elle avait fait mine de s’en apercevoir :
- Oh mais t’es toujours les fesses à l’air ? C’est que ça te plaît aussi alors ? Tu vois qu’est-ce que je t’avais dit tout à l’heure ? »…
Et elle laissa le soin à Eric de répondre… ce qu’il ne fit pas. Il semblait chercher les mots.
Elle l’aida alors :
- je suis une… allez dis moi !
- Vous êtes une…
- Une vi…
- Une vicieuse ?
- Hé là… mais ça ne suffit pas ça… Je ne suis pas comme ton ancien docteur moi ! Je suis donc une vicieuse, mais quel type de vicieuse ?
- Une vicieuse sympa compléta-t-il dans un grand sourire
- Mais ce n’est pas tout… je ne suis pas que sympa, je suis aussi con…
- Heu…
- Mais c’est toi le petit con ! Je suis une vicieuse sympa con… fit-elle mine de s’énerver !
- Compétente et consciencieuse compléta enfin Eric
- Bien alors répète-le tout convenablement… J’aime assez bien ce compliment ! »
« Vous être une vicieuse sympa compétente et consciencieuse récita d’une traite Eric.
- Allez, c’est bon, t’es un gentil toi… tu peux remballer ta marchandise !
Et c’est à regret qu’elle regarda son jeune patient se rhabiller…
- Et rappelle toi… j’ai un boulot fatiguant et difficile comme tu as pu t’en rendre compte… Tu sais donc comment je préfère examiner mes patients… J’espère que tu y penseras la prochaine fois que tu devras venir… Parce que tu as envie de me revoir hein ? C’est moi ton médecin maintenant ?
- Oui oui… s’était empressé d’acquiescer Eric en casant son zob dans son boxer blanc…
Elle alla coucher tôt ce soit là, mais elle ne trouva pas facilement le sommeil. Sa conscience l’interpellait. Avait-elle le droit comme médecin d’agir de la sorte ? Par ailleurs, elle avait trouvé très agréable ce moment avec le jeune homme. De se remémorer la scène, de le voir sauter nu à la corde, de sentir qu’il n’était pas du tout mal à l’aise, cela lui fit chaud au cœur… mais aussi entre les cuisses…
Elle avait conclu que son attitude n’était pas déontologiquement réprouvable. Et elle décider de recommencer. Il y eut Michaël, David, Sacha, Vincent, Sam,… Aucun ne venait pour des maladies sérieuses et plusieurs débarquaient comme Eric pour des certificats d’aptitude, ce qui était normal pour des jeunes de leurs âges. Et tous acceptèrent de se mettre nus pour l’examen. Avec des conséquences diverses cependant. Michaël ôta son caleçon américain pour dévoiler une queue toute droite… Mais il ne s’en formalisa pas et passa l’ensemble de l’examen dans cet état… Comme il semblait tout à fait à l’aise, Sabine le taquina…
- Ah mais oui, ça m’a l’air de bien fonctionner tout ça…
Ce qui ne déclenchait qu’un sourire chez Michaël. David alterna les périodes d’érection et de flaccidité. Lui semblait plutôt embêté d’exhiber cette rigidité, mais quand elle lui proposa gentiment de remettre son slip pour se sentir plus à l’aise, il refusa. Sacha qui venait aussi pour la première fois en consultation chez elle avait obéi à ce qu’il avait perçu comme un ordre péremptoire, mais il s’était lui précipité sur son slip quand elle lui avait permis de cacher sa biroute érigée. Et même recouvert, elle le sentit mal à l’aise durant le reste de l’examen. Malgré toute sa conviction, elle s’était rendue compte que cette première expérience chez elle ne connaîtrait pas de suite. Vincent paru gêné pendant tout le temps de l’examen. Il ne savait pas où mettre ses bras et ses mains qui parfois cachaient son sexe, parfois, ballaient le long de son corps. Mais chaque fois qu’elle lui demandait si ça allait, il répondait par l’affirmative. Sam, elle ne l’avait jamais vu quand elle avait tenté l’expérience avec lui, mais du jour où elle le mit nu devant elle, il se mit à fréquenter assidument sa salle d’attente… Il y en eu d’autres qui refusèrent de se déshabiller, ce que Sabine accepta bien évidemment, Mais personne ne claqua la porte…
Mais son préféré, cela resta Eric, qui revint régulièrement la voir, prétextant des bobos assez futiles mais réels, qui auraient pu le plus souvent, se passer d’un médecin. Ce fut le seul avec Sam évidemment, qui avait retenu la leçon et se déshabillait dès son entrée dans le cabinet. Elle dut par exemple le repréciser à chaque fois à David et Vincent, qui continuèrent à paraître gênés, mais continuèrent également à fréquenter sa salle d’attente…
Eric donc, rentrait dans son cabinet et se foutait à poil. Pour un doigt foulé, pour un œil bien amoché suite à un coup reçu lors d’un match, pour une bronchite dont il n’arrivait pas à se débarrasser, hop, à poil !
Et puis, il y a eu cette fin de journée mémorable que Sabine pensait avoir terminée, quand elle se rendit compte que dans sa salle d’attente, il y avait encore Eric (chouette !) et Mme Louis (oh ! non ! pas elle !).
C’était au tour d’Eric qui rentra dans son cabinet en boitant bas. Elle le prévint qu’elle allait rapidement s’occuper de lui. Mais elle connaissait Mme Louis qui aimait à se plaindre, et à s’inventer des histoires. Par politesse et pour déjà gagner quelques minutes sur la consultation qui ne manquerait pas de s’éterniser quand viendrait son tour, Sabine avait pris de ses nouvelles. Elle était embêtée de faire attendre Eric, mais quand elle s’était retournée pour lui dire qu’il n’avait plus longtemps à patienter, elle le vit tout nu, qui jouait négligemment avec son zizi. Elle eut un sourire et décida d’écourter la conversation pour aller retrouver son patient préféré.
- Alors, encore un gros bobo ? demanda-t-elle ?
- Bin non, pourquoi vous me demandez ça ? J’ai juste besoin d’une ordonnance (le brave gamin qui se foutait à poil pour venir quérir une ordonnance !) pour de la pommade pour soigner mes pieds qui souffrent beaucoup de la transpiration dans mes baskets… Je sais plus le nom de ce que vous m’avez donné la dernière fois…
- Et pourquoi tu boîtes alors ?
- Mais je boîte pas… Ah si, mais c’était parce que ma jambe s’était endormie dans la salle d’attente… C’est pas génial vos sièges quand il y a du monde.
- Ne m’en parle pas… Madame Louis qui te suit s’en plaint tout le temps ! Faut dire qu’elle se plaint de tout !
- Ouais… Qu’est-ce qu’elle soufflait en attendant son tour !
- Oh mais c’est une chiante qui s’invente tout le temps des histoires… Mais je vais t’en raconter une comme ça tu ne seras pas venu pour rien et je pourrai admirer ton joli corps quelques minutes de plus… Lève-toi un peu et tourne-toi que je puisse admirer tout ça ! J’aime vraiment beaucoup tes fesses… Un jour je prendrai mon appareil photos pour immortaliser ça… Comme ça je m’en souviendrai quand tu ne viendras plus me voir… salaud ! Allez ! Tu peux te rasseoir, que je te parle de Mme Louis.
Madame Louis était une dame qui fréquentait le cabinet depuis plusieurs années, elle était aujourd’hui dans une phase dépressive, mais avait été beaucoup plus spitante auparavant. Sabine trouvait qu’elle ressemblait à Miss Peggy du Muppet show, avec ses cheveux tout bouclés sur sa tête, son nez en trompette, ses gros seins et ses robes pétantes et bariolées. Madame Louis racontait à Sabine qu’elle était infirmière, mais la médecin n’en croyait rien, même si elle feignait de le faire. Dans ces moments plus vivaces, Madame Louis racontait son boulot d’infirmière. Et tout cela tournait autour des hommes qu’elle aimait beaucoup voir nus.
- D’ailleurs, tout à l’heure, elle me demandera certainement si je te déshabille et si tu en vaux la peine ! »
Madame Louis expliquait à Sabine qu’elle en avait vu beaucoup parce qu’elle avait été infirmière pour l’armée à l’époque où il n’y avait pas encore de femmes incorporées, et qu’elle avait à cette période, pour amants, le chef de la caserne et le médecin militaire à qui elle avait avoué son penchant pour ces nudités masculines. Elle racontait que, pour lui plaire, ces soupirants lui dévoilaient les corps de ces soldats qu’ils commandaient ou soignaient. Le médecin militaire mettait les hommes nus pour n’importe quel examen (ce qui ne semble pas nécessairement anormal dans une caserne) et le chef de la caserne faisait faire des exercices nus à des pelotons entiers. Elle se souvenait d’exercices d’une centaine de beaux hommes nus sur une plage entre le sable et l’eau, avec elle en maillot pour profiter du spectacle.
Elle racontait aussi qu’elle aimait s’exhiber face à ces hommes et que notamment, sur cette plage, elle s’était baignée nue en présence du chef ou du médecin et que tout trois savaient que des dizaines de paires d’yeux ne manquaient rien du spectacle. Elle disait aussi que c’était après ces séances d’exhibitions qu’elle était la meilleure au lit et qu’elle y atteignait ces fois-là des orgasmes hallucinants.
- Elle mettait de la conviction dans ce qu’elle me disait, mais je ne sais pas, ça correspond tellement peu à la façon dont elle se présente aujourd’hui que je ne l’ai jamais crue. Sans doute qu’elle en a rêvé de tout ça… mais que ça lui soit arrivé, ça, mon œil ! Déjà qu’elle se prétend infirmière… Enfin, elle vient régulièrement me voir pour rien, au moins je suis utile en écoutant ces bêtises… et puis, elle me paie ses consultations ! N’empêche, j’aimerais la tester ou la provoquer une fois… Mais j’ai pas d’idée…
- Moi j’en ai peut-être une ! Et une bonne ! Réalisable tout de suite ! Avec moi !
- Toi ? Avec toi ? Et ce serait quoi ton idée réalisable tout de suite ?
- Moi… et ça ! avait répondu Eric en sautant à pieds joints et en attrapant ses breloques à pleines mains.
Sabine se souvient avoir souri et demandé à Eric de lui expliquer le scénario. Elle en avait été suffisamment convaincue, et Eric avait pu la persuader que déontologiquement, elle restait finalement assez bien dans les cases… « Enfin quasi quoi ! »
Ils avaient organisé le cabinet un tout petit peu différemment, rapprochant essentiellement la table d’examen des espaliers qui étonnamment décoraient un pan de mur.
- C’était un cabinet de kiné avant… et j’ai gardé les espaliers que je trouvais sympas !
Eric se couche sur la table. Sabine att une serviette de papier, et la pose sur la biroute se son patient non pour la protéger des courants d’air, mais plutôt de regards indiscrets, et elle s’en va vers la salle d’attente.
- Dites, Madame Louis… Vous êtes bien infirmière, hein ? C’est parce que j’aurais besoin d’un coup de main pour soulager Eric qui est là-dedans et qui a un sacré mal de dos… Vous pourriez venir un moment ?
Madame Louis avait hésité une seconde, puis, se rendant sans doute compte qu’on lui demandait de jouer un rôle qu’elle ne faisait que fantasmer, elle avait accepté avec empressement, et était entrée dans le cabinet où Eric l’attendait, couché sur la table, nu comme un ver, mais décent grâce à la serviette.
- Je vous explique… Eric a très mal au dos… Il a un nerf qui s’est sans doute bloqué entre les cervicales. Ça tombe bien, si on peut dire, parce que le mois passé, j’ai été suivre une formation à la manipulation du dos qui devrait permettre de le soulager… C’est assez douloureux sur le moment, mais après, on se sent directement mieux… Le problème, c’est qu’il faut, soit une grosse machinerie que je n’ai pas ou alors un coup de main… Et donc, je vous demande de m’aider… Mais ne vous inquiétez pas, c’est tout simple.
Elles se trouvaient maintenant près de la table. Eric et Mme Louis échangèrent un sourire, bien plus gêné chez la dame.
- Bon, je lui ai mis une serviette pour protéger vos pudeurs, mais je sais bien que c’est surtout la sienne, parce que je sais aussi que vous en avez vu d’autres, hein Madame Louis ?
- Oui, oui confirma la grosse dame en rougissant très fort.
- Voilà comment ça va se passer… Eric va accrocher ses mains à l’espalier. Je vais moi me mettre entre ses bras. Vous Madame Louis, vous allez vous mettre à ses pieds, qui sont propres, rassurez-vous, vous allez les attr et quand je vous le dirai, vous les tirerez vers vous. Je ferai alors les manipulations à ses épaules et sur son dos… c’est clair ?
- Oui, oui, très clair.
Chacun prit sa position.
- On va faire un essai. Eric tu t’accroches… Madame Louis vous tirez. Ok… plus fort… moins fort maintenant… à nouveau plus fort… ça va Eric ?
- Ça me fait déjà du bien…
- Mais je ne t’ai encore rien fait ! Enfin sans doute que t’étirer comme ça, c’est déjà une bonne chose… allez, on y va pour du bon. Allez-y Madame Louis… Tirez !
Madame Louis tira et Le médecin commença à triturer le dos d’Eric qui après quelques secondes émit un gémissement.
- Ça fait mal ? C’est normal, c’est une bonne douleur… Très bien, Madame Louis, continuez à tirer comme ça… Attention Eric, là, ça risque d’être plus douloureux…
Eric se cambra sous la douleur (simulée). Puis se cambra à nouveau, permettant à la serviette qui jusque là cachait son intimité de la dévoiler. Madame Louis à cette vue, diminua la tension, mais se fit rappeler à l’ordre par Sabine :
- Continuer à tirer, Madame Louis… Et ne vous inquiétez pas… ce n’est pas par là qu’il va prendre froid.
Madame Louis se remit à tirer, le visage rougi sans qu’on ne sache si c’était dû à l’effort ou au trouble.
- Pause ! déclara Le docteur.
Madame Louis relâcha le corps d’Eric qu’on sentit se détendre sur la table. Sabine détacha le bras de son patient qui l’emprisonnait et se rendit près de lui. Elle lui massa d’abord doucement la poitrine, puis posa sa main sur sa cuisse. Madame Louis observait avec attention le manège du médecin.
- On stoppe deux minutes, Eric, tu respires bien à fond.
Et elle s’en alla à son bureau, laissant Madame Louis près du corps nu. Ce qui perturba la grosse dame qui ne savait où poser les yeux… Sabine avait sans doute vu juste… Elle avait beaucoup fantasmé la dame, mais de ce qu’elle racontait, il y avait tellement peu de réellement vécu ! Les deux minutes lui parurent bien longues, tandis qu'Eric l’ignorait et, obéissant à Sabine, respirait à longues goulées, et se grattait sans vergogne l’entre-jambes.
Sabine s’approcha à nouveau. Elle demanda à Madame Louis de ramasser la serviette et de couvrir le petit oiseau d’Eric… Ce qui semblait un peu ridicule alors qu’il était exposé depuis plusieurs minutes… Mais Madame Louis s’exécuta, déposant précautionneusement le bout de papier… Ce qui fit rire Sabine…
- Mais allez-y, Madame Louis, profitez de l’occasion… Vous en avez déjà vécu d’autres… Empoignez les choses avec vigueur !
Et joignant le geste à la parole, elle saisit solidement à travers le papier les bijoux d’Eric… qui sursauta… (Et ce n’était pas feint !) Sabine avait décidé d’en rajouter un peu !
Une nouvelle séance débuta qui rapidement fit voleter le papier… Séance pendant laquelle, la bite à Eric montra des signes, puis plus que des signes d’excitation…
- C’est normal déclara le docteur Sabine,
- Je fais certaines manipulations à hauteur de la colonne vertébrale qui provoquent ce genre de réaction ! Continuez à tirer Madame Louis,… et admirez mon efficacité !
La queue d’Eric se déployait maintenant dans toute sa splendeur… Mais la douleur revenait et Eric se cambrait à qui mieux mieux, mettant davantage encore en évidence sa plantureuse érection. Il poussait de temps en temps un petit cri ou un râle qui donnait davantage de réalisme à son cinéma.
La doctoresse proposa une pause, demanda a Madame Louis d’à nouveau couvrir le sexe d’Eric ce qu’elle fit avec la même précaution que la première fois, l’érection toujours présente devant sans doute l’impressionner davantage ! Puis, Sabine expliqua la suite des opérations.
- Je pense qu’Eric n’est pas encore en état pour l’instant. C’est la troisième manip’ qui devrait arranger les choses. Alors, maintenant, 5 minutes de repos, et pendant ce temps, Vous allez me raconter ce qui vous amène Madame Louis.
Et Madame Louis raconta son traditionnel mal de dos, ses difficultés à respirer quand elle faisait trop d’efforts, et des douleurs aux jambes quand elle se levait le matin.
- Comme d’habitude pensa Sabine qui enchaîna ensuite, conformément au scénario imaginé avec son comparse.
- Voilà ce que je propose : Eric a besoin d’une petite demi-heure de repos, ce qui me laisse davantage de temps pour m’occuper de vous Madame Louis. Vous allez donc m’aider à déplacer Eric jusqu’au divan et ensuite, vous prendrez sa place sur la table, et on va essayer quelque chose… ça vous va ça, Madame Louis ?
Miss Peggy acquiesça.
Il fallut aider Eric à se déplacer… Il y mit évidemment beaucoup de mauvaise volonté, et Sabine en rajouta, demandant notamment à Madame Louis de bien vouloir aider le patient en le saisissant par les hanches pour le faire glisser hors de la table, de telle façon qu’elle se retrouve nez à nez avec un Popol, d’abord caché par la serviette, mais que les mouvements peu orthodoxes pour permettre à Eric de se remettre debout libérèrent rapidement de toute entrave… Eric s’accrocha donc, nu, aux épaules des deux dames, et Sabine arriva à faire empoigner les fesses du jeune homme par Madame Louis pour le déposer sur le divan. Eric était alors bien installé dans une nudité qu’on ne prenait plus la peine de protéger…
- À nous ! » s’adressa alors le docteur Sabine à Madame Louis.
- Vous vous mettez en sous-vêtements et vous venez vous coucher sur la table !
Madame Louis paru décontenancée. Elle jeta un œil désemparé alternativement au jeune homme nu puis à la doctoresse, mais celle-ci fit mine de ne rien voir de son léger désarroi… La dame pris alors son courage à deux mains et demanda si elle devait se déshabiller en sa présence…
- Mais Madame Louis, voyons ! Vous n’allez pas faire votre mijaurée ! Avec tout ce que vous m’avez raconté, ce n’est pas ce pauvre jeune homme sans défense aucune qui va vous inquiéter… au contraire même, ça devrait vous plaire… non ?
- S… si… si ! » bredouilla La dame, pas plus convaincue que cela, mais qui prenait conscience qu’un refus de sa part l’obligerait à se dédire de tout ce qu’elle avait inventé jusqu’à présent…
Et elle se déshabilla… laissant apparaître aux yeux d’Eric qui ne manquait rien du spectacle, une paire de seins qu’un soutien-gorge à double voire triple armature retenait péniblement, et une paire de fesses plus fessues que les fesses les plus fessues qu’il avait eu l’occasion de voir… à la télévision… Madame se coucha ensuite, la figure toute rouge, sur la table.
- On va commencer par les jambes…
Le docteur examina consciencieusement les gros mollets de la dame… Puis elle proposa sa solution… Des massages réguliers en insistant surtout là et là. Et elle montra deux points du mollets qui devaient davantage être travaillés, et cela avec une pommade que Sabine allait prescrire.
Sabine passa alors au dos… Elle appuya ses pouces sur différents points du dos arrachant parfois un soupir, un sursaut ou un petit cri quand ça faisait plus mal. Sabine semblait plus sceptique. Elle le fit savoir… elle recommença l’opération… Puis, sans rien demander, défit l’attache du soutien-gorge pour bien dégager le dos… Elle insista quelques secondes avec les pouces, mais ne sembla pas satisfaite. Elle demanda alors à Madame Louis de s’asseoir pour la triturer autrement. La patiente hésita mais s’exécuta… les bonnets du sac à nénés cachaient encore les seins, mais comme le soutif n’était plus attaché, il n’en fallait pas beaucoup pour que sa poitrine se dégage… C’est ce qui se passa quand Sabine poussa sèchement sur un point du dos, ce qui amena la dame à se cambrer. Et ses deux nichons de débouler sous le soutien et à se retrouver à l’air libre. Madame Louis fit mine de remballer sa marchandise, mais Sabine lui intima de n’en rien faire.
- Ne bougez pas, je pense que je trouve.
Et Madame Louis de rester toute penaude, ses deux énormes pastèques à la vue d’Eric qui ne manquait rien du spectacle.
Sabine diagnostiqua enfin…
- Oui, c’est bien le poids de votre poitrine qui demande exagérément d’efforts aux muscles du dos, et en plus, du fait de ces efforts, la colonne vertébrale a une tendance à se tordre et à coincer légèrement l’un ou l’autre nerf qui l’entourent. Pour ça, y a pas de miracle, exercices soit avec un kiné, soit dans une salle de sports, mais avec un moniteur compétent et des massages, soit avec le kiné, soit avec quelqu’un d’autre mais qui respecterait les consignes que je lui donnerais. Bon, on va passer aux poumons maintenant… et pour ça, c’est mieux sans votre soutien… D’ailleurs qu’est-ce que c’est que cet accès de pudeur de vouloir cacher cette paire de seins… Vous en êtes fière de ces seins… C’est quand même vous qui m’avez raconté qu’ils en avaient fait baver des mecs… Et ce n’est quand même pas pour ce petit Eric, qui lui se trouve tout nu devant vous que vous aller faire un drame…Hein Eric, qu’elle a de sacrés nichons Madame Louis… Hein, dis lui que tu n’en as jamais vu de pareils…
Et joignant le geste à la parole, elle empoigna vigoureusement la paire de loches de Madame Louis pour les présenter mieux encore à Eric à qui elle avait adressé discrètement un clin d’œil complice. Puis s’adressant à Madame Louis :
- Soyez fière de vos nichons et regardez comme ce jeune homme les apprécie !... Allez, les poumons maintenant…
Et le médecin saisit son stéthoscope et commença à ausculter Madame Louis… de façon un peu facétieuse puisqu’elle ausculta également ses tétons. Miss Peggy, malgré le trouble qui continuait à l’envahir, semblait dans le même temps se détendre… Elle fit mine de se défendre quand le docteur posa son stéthoscope sur les tétons, ce qui entraîna une mini bagarre entre les deux femmes dans un bel éclat de rire…
- J’en ai pas fini avec vous, mais il faut que je repasse à Eric, sans ça mes deux premières manip’ ne serviront à rien… ça va Eric ? Moins mal ?
- Je l’sens bien, mais c’est supportable ! »
- Et bien, c’est de nouveau à toi alors… Tu peux venir tout seul ? Voilà un homme un vrai, viril et tout, qui ne s’effarouche pas à la moindre douleur… On en a de la chance hein Madame Louis d’avoir un homme comme ça avec nous… Et tout nu en plus ! Allez Eric, couche-toi, et Madame Louis, vous lui attz les pieds comme tout à l’heure…
- Mais, s’effraya Madame Louis… il faut que je me rhabille.
- Ah non ! Madame Louis, vous n’allez pas recommencer… Eric les trouve supers vos nichons… Vous n’allez pas lui gâcher son plaisir… Et de toute façon, je dois encore vous ausculter après ! J’ai pas que ça à faire !
Madame Louis se résigna sans protester… Elle fit même un clin d’œil à Eric, signe que la situation ne lui déplaisait finalement pas…
Et la séance repris. Madame Louis tirait les pieds d’Eric, ces énormes boulets nus titillés par les orteils du jeune homme, qui mine de rien profitait de ce contact, alors qu’officiellement, il souffrait… mais le plus discrètement possible. Le docteur Sabine, elle, manipulait le dos de son patient. Puis, après quelques minutes de cet intense travail, Eric poussa un cri plus fort que les autres et Sabine annonça triomphalement :
- On y est !... Souffle bien, Eric et puis, retournes toi…
Et Eric de se retourner et de mettre en évidence ces magnifiques fesses de sportif.
- Je vais lui masser le dos pendant deux ou trois minutes, et pendant ce temps, Madame Louis, j’ai une tâche particulièrement agréable à vous proposer. Vous allez mettre vos mains sur ses fesses et pousser vers la tête… comme ça.
Et Sabine de montrer l’exemple.
- Ça vous va comme boulot ça ? Y a plus désagréable, non ?
Et Madame Louis d’acquiescer avec le sourire !
Le docteur massa le dos tout en continuant à taquiner Madame Louis qui avait posé ses mains sur les fesses d’Eric et ses seins sur ses cuisses… La grosse dame s’amusait maintenant aussi des taquineries… Et comme ça semblait plaire à tout le monde, elle rajouta quelques minutes, avant de déclarer :
- Voilà, c’est fini Eric, tu peux tester ton nouveau dos… Et vous la vilaine profiteuse, vous voulez bien lui lâcher son p’tit cul ?… Non, mais, petite vicieuse !
Madame Louis ôta ses mains ce dont profita le docteur pour asséner une vigoureuse claque sur les fesses d’Eric.
- Ah ça, c’est un plaisir que j’attendais depuis longtemps !
Eric se leva précautionneusement, bougea bras et jambes, fit quelques pas, sautilla… Tout semblait aller pour le mieux. Il enta ma une course dans le cabinet, sauta plus vigoureusement et comme ça se passait bien, il fit un cumulet, puis la roue, puis marcha sur les mains ! Puis il poussa un cri :
- Yessssssssssss !
Manifestement, il allait bien. Il se dirigea vers Sabine, la prit dans ces bras et lui colla un gros bisou sur chaque joue. Puis, il attrapa Madame Louis et entama un pas de valse avec elle en chantant une chanson paillarde qu’il connaissait bien :
- Dansez, voltigez les birou-outes ! Tralalalala, tralalalala…
ce qui effectivement était bien le cas, sa biroute voltigeait sans vergogne. Puis sans que Madame Louis ne s’y attende, Il se baissa et déposa un bisou sonore sur chacun de ses tétons ; il la retourna, lui abaissa la culotte, et fit de même sur chacune de ses fesses…
- Ouf ! On est en plein délire… est-ce bien déontologique tout ça ? pensa le docteur Sabine.
Mais l’esprit était d’abord à la fête de la guérison d’Eric. Une fête un rien décalée on peut l’avouer, mais une fête quand même, où Eric s’amusait de sa propre nudité et de celle de Madame Louis, une fête dans laquelle Madame Louis semblait aussi trouver finalement du plaisir, même si un rien interloqué, une fête ou Sabine arrêtait de se poser des questions, estimant que ces dernières pourraient dans doute trouver une réponse plus tard… Et puis ses patients n’avaient pas l’air de se plaindre !
Les consultations juxtaposées se terminaient. Une dernière auscultation de Madame Louis sous le regard intéressé et les mains baladeuses d’Eric, mains baladeuses que Madame Louis repoussait en rougissant encore, mais surtout en riant, ce qui amenait Eric à redoubler de persévérance. Le docteur Sabine avait beau proposer au jeune homme de se rhabiller, il ne daignait pas obtempérer et s’exhibait davantage dans des positions à la limite de l’obscène qui plaisait aussi beaucoup à la grosse dame... D’autant plus, quand la queue du jeune homme se dressait fièrement ! Madame Louis semblait d’ailleurs aller beaucoup mieux depuis cette séance… Les médicaments annoncés seraient-ils vraiment nécessaires ? Le docteur Sabine n’était-elle pas en train d’inventer un traitement finalement moins coûteux à la sécurité sociale ?
Le docteur Sabine clôtura les consultations en rappelant ses prescriptions à Madame Louis, et Eric se proposa pour assurer les massages, en joignant une dernière fois le geste à la parole, pelotant à qui mieux mieux les grosses loches à sa disposition. Le docteur indiqua à Eric qu’un traitement de précaution et d’évaluation, du même ordre que celui pratiqué ce jour, devrait être réalisé un mois plus tard, et ce fut au tour de Madame Louis de proposer son aide indiquant le plaisir qu’éprouvaient ses yeux à profiter d’un tel corps d’athlète. Enfin, Le médecin intima l’ordre à ses deux patients d’enfin vraiment se rhabiller.
Reste la question… Madame Louis est-elle infirmière ?

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!