Des Ethnologues Féminines Au Pays Des Hommes Nus Chapitre 1er : Le Virus De LÉcriture Me Reprend. Et LHistoire Du Docteur Sabine.
Pas érotique la première partie de ce premier texte
Jy explique juste les raisons qui mont amenées à commencer cette collection
Mais il y aura une suite dans la même veine que mes deux écrits dil y a quelques années
Une plongée ethnologique
Les ethnologues sont des femmes, les sujets de létude, les hommes
« Une étude » agrémentée de nombreuses anecdotes
Le début de cette suite, cest dans une grosse centaine de lignes
Lhistoire du docteur Sabine.
Il y a de cela 3 ans, je métais risquée à quelques petits textes racontant mes pérégrinations dinfirmière, petits textes qui sétaient finalement traduits en deux propositions au site : « le métier dinfirmière et lérotisme, petit traité de sociologie amateur » puis « petit traité dethnologie amateur ». Cela mavait fait plaisir de tenter lécriture, de raconter mes petits souvenirs, et les réactions de tous horizons mavaient permis de penser que javais plu au travers de ces textes. Je pensais en rester là
La diversité des réactions ma cependant fait remettre en cause ce premier sentiment. Je mattendais, comme pour tout texte quon retrouve sur ce site, à quelques commentaires de lecteurs. Jai été étonnée de recevoir des mails, ou en tout cas, de recevoir une telle quantité de mails. Je mattendais peut-être à quelques petites réactions, mais le déferlement (daccord, je me laisse emporter et jexagère un peu !) de messages ma réellement surprise. Dautant plus quaujourdhui encore, cela continue
Pas tous les jours, mais très régulièrement, je reçois des messages qui me disent le plus souvent le plaisir de mavoir lue, des messages qui font référence à des anecdotes qui sont arrivées à mes correspondant(e)s ou à des fantasmes qui sont liés à ces historiettes.
Pour ceux qui se souviennent de mes premiers textes, je vais poursuivre dans la même veine en classant ces réactions.
Une première catégorie de messages souhaitait simplement me féliciter ou me remercier pour mes écrits.
Vient ensuite la catégorie des hommes que mes récits ont véritablement excités et qui ont décidé de fantasmer sur moi. Le nombre de messages, généralement respectueux, même sils étaient assez explicites, qui ont exprimé ce fantasme a été une réelle surprise. La plupart des hommes qui me transmettaient ces messages avaient ou avaient eu des rapports avec lune ou lautre infirmière pour lune ou lautre raison : des maladies plus ou moins graves, des accidents divers, les avaient amenés dans des hôpitaux ou avaient conduit des infirmières à leurs domiciles. Ces hommes souhaitaient correspondre avec moi. Jai toujours été gentille avec eux, mais en gardant la distance nécessaire pour ne pas me faire envahir, et aussi, et peut-être surtout, pour ne pas devenir leur psy ou leur confidente par correspondance. Nombreux sont ceux qui se sont faits plus envahissants. Mais à ce jour, aucun na poussé nos échanges jusquau harcèlement. Peut-être se sont-ils rendus compte des barrières que je posais. Si harcèlement il ny a pas eu, il y a par contre eu de nombreuses tentatives dentrer dans mon intimité. Avec la même réponse à chaque fois : « Je suis une infirmière qui aime lécriture parfois érotique, et qui a aimé raconter des anecdotes rencontrées dans le cadre de son travail
». Ni plus ni moins. Et certainement pas la couleur de mes cheveux ou la taille de mes soutifs ! Par contre, et il est vrai, sans que je ne lutte contre, je suis rentrée dans lintimité de ces messieurs.
Il y a enfin la catégorie des femmes. Quelques unes pour me dire que mon approche de lérotisme les égayait davantage que ces histoires ou pullulaient les gros nichons qui nattendaient quà être malaxés avec vigueur et dans lesquelles, de grosses queues défonçaient des sexes de femmes qui ne demandaient quà recevoir leurs coups de boutoir si jouissifs. Mais dautres aussi, celles qui mont le plus intéressées et qui mont incitées à reprendre la plume ce jour. Ces femmes qui mont contactée, se retrouvaient dans mes anecdotes et ont eu envie de me raconter les leurs. Il y a, bien sûr, eu quelques collègues infirmières, mais qui, si elles ont conforté mes dires, ne mont en rien éclairé sur des à-côtés croustillants que jaurais manqués. Sauf peut-être Nathalie avec qui je corresponds actuellement et qui se retrouve plutôt elle dans le fantasme des infirmières nues sous leur blouse blanche
Et qui aime à en jouer avec ses patients
Et qui pourrait peut-être bientôt raconter ses histoires sur ce site ou un autre
Il y a eu surtout dautres femmes qui pratiquaient dautres métiers, métiers qui pouvaient les confronter à des nudités masculines volontaires ou involontaires.
Ces femmes, je les ai lues, je les ai entendues (par téléphone), je les ai rencontrées. Nous nous sommes amusées de nos anecdotes respectives. Beaucoup. Et je leur ai proposé de prendre à leur tour la plume parce que leurs histoires à elles étaient suffisamment délirantes, amusantes, attendrissantes, militantes que pour les raconter. Elles ne se sont pas senti la compétence de narrer ces anecdotes. Ou alors, la tentative et le résultat obtenu les ont déçues. Lune delle ma alors proposé de raconter pour elle. Cela ma intéressé et amusé. Je lai proposé à dautres qui lont accepté avec enthousiasme. Pour la fluidité de lécriture, pour donner de la consistance aux textes, jai voulu dépasser les histoires personnelles, pour regrouper certaines dentre elles et consti des histoires parfois plus complexes mais avec un contenu qui me paraissait plus solide.
Parmi les auteurs des commentaires reçus pour mes premiers textes, Alaink se demandait sil existait dautres métiers qui comme le mien permettait de rencontrer de telles situations. Un autre, Nicoli, trouvait mes textes peu érotiques et trop statistiques alors quil coquin aurait plutôt publié mes deux premiers textes dans « non-érotiques ».
Cest donc cette petite collection dhistoires recomposées que je me propose de raconter dans les textes qui vont suivre Et tout de suite, pour commencer, lhistoire de Docteur Sabine.
Docteur Sabine
Historiette dans laquelle la docteur dépasse les limites, pour une histoire finalement très sage, mais qui nous a bien amusées, dans laquelle elle commence à déshabiller de jeunes hommes
Sabine est médecin de quartier, appréciée par ses patients pour sa compétence et sa bonhommie. La quarantaine bien entamée, elle en a vu de toutes les couleurs avec ses patients. Comme médecin, elle a été confrontée aux obsessions mâles et aux nudités diverses. Elle a géré les obsessions, et elle sest retrouvée complètement blasée de ces nudités. Cest lors dune conversation avec une de ses amies où elles parlaient « mecs », quelle sétait rendue compte combien elle pouvait être devenue indifférente à la nudité des hommes et à leurs histoires de cul, elle qui avait été si polissonne. Elle souhaitait reprendre le dessus et retrouver cette insouciance un peu canaille, tout en restant respectueuse de ses patients
Il y avait certainement de quoi faire, mais comment
Elle avait un peu perdu le fil.
Cest un soir de lassitude quelle est tombée sur mes petites histoires et quelle a eu le déclic, dont elle sest faite une devise : « Prendre le dessus sur les hommes, tout en les respectant, et en pensant à leur propre plaisir ». Cest un peu la philosophie que comme infirmière, je métais assignée au cours de ma carrière.
Elle comprit vite que sa devise ne sappliquerait pas à tous ces patients, dune part parce que certains ne se sentiraient pas respectés et dautre part, parce que certains dentre eux ne lui en donneraient pas envie.
Cest ainsi quelle fit la connaissance dEric. Le jeune homme, quelle navait jamais vu auparavant, vint un jour lui demander un certificat médical daptitude à la pratique de son sport, en loccurrence le Basket-ball. Elle sétait dabord étonnée de son choix de venir la trouver elle alors quil devait avoir un médecin plus habituel, et il lui avait répondu très clairement quil avait toujours détesté son médecin de famille, qui était un ami de ses parents, mais quil avait toujours trouvé vicieux et les mains baladeuses. Il était maintenant majeur et selon ses parents devait maintenant se prendre en charge. Ils lui avaient donc donné largent de la consultation pour quil se rende chez le médecin de famille comme à lhabitude. Il avait décidé sans leur dire, de changer de médecin. Il habitait dans le quartier, avait repéré Sabine depuis un certain temps et lavait surtout trouvée plutôt sympa. Cest donc assez naturellement quil avait choisi sa salle dattente.
Sabine le détaillait pendant quil parlait. Cétait un beau jeune homme à lallure sportive. Elle était touchée par lhistoire quil avait eue avec ce salopard de confrère, mais en même temps, elle se sentait troublée par cette histoire. Elle flairait en effet confusément quen lien avec la devise quelle construisait encore confusément dans sa tête, elle pourrait avoir envie dr de lui aussi
Eric terminait dexpliquer la raison de sa présence dans son cabinet, sortait une enveloppe contenant le papier à remplir et expliquait quil se sentait en pleine forme et quune simple signature de sa part, ainsi que son cachet suffirait. Il nallait pas la déranger plus longtemps.
Cest à ce moment que Sabine décida de prendre les choses en mains.
- Oui, bien sûr, mais ce nest pas si simple sentendit-t-elle répondre, elle qui souvent avait rempli sans broncher ce genre de document.
- Comme tu peux le lire là, elle avait décidé de le tutoyer, histoire dassurer rapidement sa position dominante,
- il est bien question dune attestation de bonne santé à délivrer après un examen complet.
Et elle indiqua sur le papier où se trouvait ce paragraphe.
- Je suis une professionnelle, et je suis consciencieuse sourit-elle.
Je vais donc dabord texaminer avant de signer ce papier. Si tu veux bien te déshabiller, puis venir sur la table ?
Eric ne broncha pas, trouvant normal, finalement de passer par là. Il ôta son t-shirt blanc, dévoilant un torse bronzé et dépourvu de poils, et il vint sasseoir sur la table de consultation.
Sabine sourit à nouveau :
- Comment veux-tu que je réalise un examen complet dans cette tenue ?
Eric sourit à son tour, retira chaussures et chaussettes avant de faire glisser son jeans et dapparaître dans un boxer blanc du plus bel effet.
Il sapprêtait à se rasseoir à nouveau quand Sabine osa renchérir :
- Complet lexamen !
Là Eric se sentit interloqué. Elle le remarqua sur son visage. Mais Sabine lencouragea dun signe de tête.
- Je suis une professionnelle consciencieuse, rappelle-toi, dut-elle ajouter dun ton gourmand car il ne se résignait pas à ôter sa belle culotte.
Le ton employé rassura probablement Eric qui se décida à enlever son dernier vêtement.
- Voilà qui est mieux samusa Sabine en détaillant sans vergogne le corps nu du jeune homme. Et pour vraiment installer une complicité, elle avoua :
- Je ne suis pas aussi vicieuse que ton ancien médecin, mais examiner mes patients à poil, cest plus facile
et puis parfois ce nest pas désagréable
cest même très amusant
Quand tu quitteras mon cabinet dans quelques minutes, tu peux penser que je suis une vicieuse, mais je veux que tu penses que je suis une vicieuse sympa, compétente et consciencieuse.
Eric acquiesça un peu gêné, mais il ne semblait en effet pas très inquiet.
Sabine assura lexamen en y mélangeant les observations nécessaires à un véritable examen médical, dautres observations utiles, mais non nécessaires et surtout amusantes quand elles sont réalisées sur un bel homme nu, le tout dans un esprit de détente qui plut à Eric. Cela se remarqua très vite sur son visage qui resta très détendu pendant tout lexamen. Elle le fit tenir en équilibre sur un pied, elle le fit sauter à la corde, elle lui fit lever les bras et tenir les yeux fermés pendant une minute tout en tournant autour de lui, et en osant parfois lun ou lautre commentaire un petit peu salace, mais quEric prenait avec bonne humeur :
- Ça gigote bien quand tu sautes,
cest bien quand ton oiseau est à lair, cest le premier qui mindique quand tu perds léquilibre,
garde bien les yeux fermés, et ne tinquiète pas, je te regarde,...
Lexamen sest terminé. Elle a dit à Eric quil était en bonne santé et quelle pouvait remplir le papier. Elle sétait assise à son bureau, laissant Eric debout tout nu devant elle. Ce nest que quand elle lui avait tendu le document signé et cacheté quelle avait fait mine de sen apercevoir :
- Oh mais tes toujours les fesses à lair ? Cest que ça te plaît aussi alors ? Tu vois quest-ce que je tavais dit tout à lheure ? »
Et elle laissa le soin à Eric de répondre
ce quil ne fit pas. Il semblait chercher les mots.
Elle laida alors :
- je suis une
allez dis moi !
- Vous êtes une
- Une vi
- Une vicieuse ?
- Hé là
mais ça ne suffit pas ça
Je ne suis pas comme ton ancien docteur moi ! Je suis donc une vicieuse, mais quel type de vicieuse ?
- Une vicieuse sympa compléta-t-il dans un grand sourire
- Mais ce nest pas tout
je ne suis pas que sympa, je suis aussi con
- Heu
- Mais cest toi le petit con ! Je suis une vicieuse sympa con
fit-elle mine de sénerver !
- Compétente et consciencieuse compléta enfin Eric
- Bien alors répète-le tout convenablement
Jaime assez bien ce compliment ! »
« Vous être une vicieuse sympa compétente et consciencieuse récita dune traite Eric.
- Allez, cest bon, tes un gentil toi
tu peux remballer ta marchandise !
Et cest à regret quelle regarda son jeune patient se rhabiller
- Et rappelle toi
jai un boulot fatiguant et difficile comme tu as pu ten rendre compte
Tu sais donc comment je préfère examiner mes patients
Jespère que tu y penseras la prochaine fois que tu devras venir
Parce que tu as envie de me revoir hein ? Cest moi ton médecin maintenant ?
- Oui oui
sétait empressé dacquiescer Eric en casant son zob dans son boxer blanc
Elle alla coucher tôt ce soit là, mais elle ne trouva pas facilement le sommeil. Sa conscience linterpellait. Avait-elle le droit comme médecin dagir de la sorte ? Par ailleurs, elle avait trouvé très agréable ce moment avec le jeune homme. De se remémorer la scène, de le voir sauter nu à la corde, de sentir quil nétait pas du tout mal à laise, cela lui fit chaud au cur
mais aussi entre les cuisses
Elle avait conclu que son attitude nétait pas déontologiquement réprouvable. Et elle décider de recommencer. Il y eut Michaël, David, Sacha, Vincent, Sam,
Aucun ne venait pour des maladies sérieuses et plusieurs débarquaient comme Eric pour des certificats daptitude, ce qui était normal pour des jeunes de leurs âges. Et tous acceptèrent de se mettre nus pour lexamen. Avec des conséquences diverses cependant. Michaël ôta son caleçon américain pour dévoiler une queue toute droite
Mais il ne sen formalisa pas et passa lensemble de lexamen dans cet état
Comme il semblait tout à fait à laise, Sabine le taquina
- Ah mais oui, ça ma lair de bien fonctionner tout ça
Ce qui ne déclenchait quun sourire chez Michaël. David alterna les périodes dérection et de flaccidité. Lui semblait plutôt embêté dexhiber cette rigidité, mais quand elle lui proposa gentiment de remettre son slip pour se sentir plus à laise, il refusa. Sacha qui venait aussi pour la première fois en consultation chez elle avait obéi à ce quil avait perçu comme un ordre péremptoire, mais il sétait lui précipité sur son slip quand elle lui avait permis de cacher sa biroute érigée. Et même recouvert, elle le sentit mal à laise durant le reste de lexamen. Malgré toute sa conviction, elle sétait rendue compte que cette première expérience chez elle ne connaîtrait pas de suite. Vincent paru gêné pendant tout le temps de lexamen. Il ne savait pas où mettre ses bras et ses mains qui parfois cachaient son sexe, parfois, ballaient le long de son corps. Mais chaque fois quelle lui demandait si ça allait, il répondait par laffirmative. Sam, elle ne lavait jamais vu quand elle avait tenté lexpérience avec lui, mais du jour où elle le mit nu devant elle, il se mit à fréquenter assidument sa salle dattente
Il y en eu dautres qui refusèrent de se déshabiller, ce que Sabine accepta bien évidemment, Mais personne ne claqua la porte
Mais son préféré, cela resta Eric, qui revint régulièrement la voir, prétextant des bobos assez futiles mais réels, qui auraient pu le plus souvent, se passer dun médecin. Ce fut le seul avec Sam évidemment, qui avait retenu la leçon et se déshabillait dès son entrée dans le cabinet. Elle dut par exemple le repréciser à chaque fois à David et Vincent, qui continuèrent à paraître gênés, mais continuèrent également à fréquenter sa salle dattente
Eric donc, rentrait dans son cabinet et se foutait à poil. Pour un doigt foulé, pour un il bien amoché suite à un coup reçu lors dun match, pour une bronchite dont il narrivait pas à se débarrasser, hop, à poil !
Et puis, il y a eu cette fin de journée mémorable que Sabine pensait avoir terminée, quand elle se rendit compte que dans sa salle dattente, il y avait encore Eric (chouette !) et Mme Louis (oh ! non ! pas elle !).
Cétait au tour dEric qui rentra dans son cabinet en boitant bas. Elle le prévint quelle allait rapidement soccuper de lui. Mais elle connaissait Mme Louis qui aimait à se plaindre, et à sinventer des histoires. Par politesse et pour déjà gagner quelques minutes sur la consultation qui ne manquerait pas de séterniser quand viendrait son tour, Sabine avait pris de ses nouvelles. Elle était embêtée de faire attendre Eric, mais quand elle sétait retournée pour lui dire quil navait plus longtemps à patienter, elle le vit tout nu, qui jouait négligemment avec son zizi. Elle eut un sourire et décida décourter la conversation pour aller retrouver son patient préféré.
- Alors, encore un gros bobo ? demanda-t-elle ?
- Bin non, pourquoi vous me demandez ça ? Jai juste besoin dune ordonnance (le brave gamin qui se foutait à poil pour venir quérir une ordonnance !) pour de la pommade pour soigner mes pieds qui souffrent beaucoup de la transpiration dans mes baskets
Je sais plus le nom de ce que vous mavez donné la dernière fois
- Et pourquoi tu boîtes alors ?
- Mais je boîte pas
Ah si, mais cétait parce que ma jambe sétait endormie dans la salle dattente
Cest pas génial vos sièges quand il y a du monde.
- Ne men parle pas
Madame Louis qui te suit sen plaint tout le temps ! Faut dire quelle se plaint de tout !
- Ouais
Quest-ce quelle soufflait en attendant son tour !
- Oh mais cest une chiante qui sinvente tout le temps des histoires
Mais je vais ten raconter une comme ça tu ne seras pas venu pour rien et je pourrai admirer ton joli corps quelques minutes de plus
Lève-toi un peu et tourne-toi que je puisse admirer tout ça ! Jaime vraiment beaucoup tes fesses
Un jour je prendrai mon appareil photos pour immortaliser ça
Comme ça je men souviendrai quand tu ne viendras plus me voir
salaud ! Allez ! Tu peux te rasseoir, que je te parle de Mme Louis.
Madame Louis était une dame qui fréquentait le cabinet depuis plusieurs années, elle était aujourdhui dans une phase dépressive, mais avait été beaucoup plus spitante auparavant. Sabine trouvait quelle ressemblait à Miss Peggy du Muppet show, avec ses cheveux tout bouclés sur sa tête, son nez en trompette, ses gros seins et ses robes pétantes et bariolées. Madame Louis racontait à Sabine quelle était infirmière, mais la médecin nen croyait rien, même si elle feignait de le faire. Dans ces moments plus vivaces, Madame Louis racontait son boulot dinfirmière. Et tout cela tournait autour des hommes quelle aimait beaucoup voir nus.
- Dailleurs, tout à lheure, elle me demandera certainement si je te déshabille et si tu en vaux la peine ! »
Madame Louis expliquait à Sabine quelle en avait vu beaucoup parce quelle avait été infirmière pour larmée à lépoque où il ny avait pas encore de femmes incorporées, et quelle avait à cette période, pour amants, le chef de la caserne et le médecin militaire à qui elle avait avoué son penchant pour ces nudités masculines. Elle racontait que, pour lui plaire, ces soupirants lui dévoilaient les corps de ces soldats quils commandaient ou soignaient. Le médecin militaire mettait les hommes nus pour nimporte quel examen (ce qui ne semble pas nécessairement anormal dans une caserne) et le chef de la caserne faisait faire des exercices nus à des pelotons entiers. Elle se souvenait dexercices dune centaine de beaux hommes nus sur une plage entre le sable et leau, avec elle en maillot pour profiter du spectacle.
Elle racontait aussi quelle aimait sexhiber face à ces hommes et que notamment, sur cette plage, elle sétait baignée nue en présence du chef ou du médecin et que tout trois savaient que des dizaines de paires dyeux ne manquaient rien du spectacle. Elle disait aussi que cétait après ces séances dexhibitions quelle était la meilleure au lit et quelle y atteignait ces fois-là des orgasmes hallucinants.
- Elle mettait de la conviction dans ce quelle me disait, mais je ne sais pas, ça correspond tellement peu à la façon dont elle se présente aujourdhui que je ne lai jamais crue. Sans doute quelle en a rêvé de tout ça
mais que ça lui soit arrivé, ça, mon il ! Déjà quelle se prétend infirmière
Enfin, elle vient régulièrement me voir pour rien, au moins je suis utile en écoutant ces bêtises
et puis, elle me paie ses consultations ! Nempêche, jaimerais la tester ou la provoquer une fois
Mais jai pas didée
- Moi jen ai peut-être une ! Et une bonne ! Réalisable tout de suite ! Avec moi !
- Toi ? Avec toi ? Et ce serait quoi ton idée réalisable tout de suite ?
- Moi
et ça ! avait répondu Eric en sautant à pieds joints et en attrapant ses breloques à pleines mains.
Sabine se souvient avoir souri et demandé à Eric de lui expliquer le scénario. Elle en avait été suffisamment convaincue, et Eric avait pu la persuader que déontologiquement, elle restait finalement assez bien dans les cases
« Enfin quasi quoi ! »
Ils avaient organisé le cabinet un tout petit peu différemment, rapprochant essentiellement la table dexamen des espaliers qui étonnamment décoraient un pan de mur.
- Cétait un cabinet de kiné avant
et jai gardé les espaliers que je trouvais sympas !
Eric se couche sur la table. Sabine att une serviette de papier, et la pose sur la biroute se son patient non pour la protéger des courants dair, mais plutôt de regards indiscrets, et elle sen va vers la salle dattente.
- Dites, Madame Louis
Vous êtes bien infirmière, hein ? Cest parce que jaurais besoin dun coup de main pour soulager Eric qui est là-dedans et qui a un sacré mal de dos
Vous pourriez venir un moment ?
Madame Louis avait hésité une seconde, puis, se rendant sans doute compte quon lui demandait de jouer un rôle quelle ne faisait que fantasmer, elle avait accepté avec empressement, et était entrée dans le cabinet où Eric lattendait, couché sur la table, nu comme un ver, mais décent grâce à la serviette.
- Je vous explique
Eric a très mal au dos
Il a un nerf qui sest sans doute bloqué entre les cervicales. Ça tombe bien, si on peut dire, parce que le mois passé, jai été suivre une formation à la manipulation du dos qui devrait permettre de le soulager
Cest assez douloureux sur le moment, mais après, on se sent directement mieux
Le problème, cest quil faut, soit une grosse machinerie que je nai pas ou alors un coup de main
Et donc, je vous demande de maider
Mais ne vous inquiétez pas, cest tout simple.
Elles se trouvaient maintenant près de la table. Eric et Mme Louis échangèrent un sourire, bien plus gêné chez la dame.
- Bon, je lui ai mis une serviette pour protéger vos pudeurs, mais je sais bien que cest surtout la sienne, parce que je sais aussi que vous en avez vu dautres, hein Madame Louis ?
- Oui, oui confirma la grosse dame en rougissant très fort.
- Voilà comment ça va se passer
Eric va accrocher ses mains à lespalier. Je vais moi me mettre entre ses bras. Vous Madame Louis, vous allez vous mettre à ses pieds, qui sont propres, rassurez-vous, vous allez les attr et quand je vous le dirai, vous les tirerez vers vous. Je ferai alors les manipulations à ses épaules et sur son dos
cest clair ?
- Oui, oui, très clair.
Chacun prit sa position.
- On va faire un essai. Eric tu taccroches
Madame Louis vous tirez. Ok
plus fort
moins fort maintenant
à nouveau plus fort
ça va Eric ?
- Ça me fait déjà du bien
- Mais je ne tai encore rien fait ! Enfin sans doute que tétirer comme ça, cest déjà une bonne chose
allez, on y va pour du bon. Allez-y Madame Louis
Tirez !
Madame Louis tira et Le médecin commença à triturer le dos dEric qui après quelques secondes émit un gémissement.
- Ça fait mal ? Cest normal, cest une bonne douleur
Très bien, Madame Louis, continuez à tirer comme ça
Attention Eric, là, ça risque dêtre plus douloureux
Eric se cambra sous la douleur (simulée). Puis se cambra à nouveau, permettant à la serviette qui jusque là cachait son intimité de la dévoiler. Madame Louis à cette vue, diminua la tension, mais se fit rappeler à lordre par Sabine :
- Continuer à tirer, Madame Louis
Et ne vous inquiétez pas
ce nest pas par là quil va prendre froid.
Madame Louis se remit à tirer, le visage rougi sans quon ne sache si cétait dû à leffort ou au trouble.
- Pause ! déclara Le docteur.
Madame Louis relâcha le corps dEric quon sentit se détendre sur la table. Sabine détacha le bras de son patient qui lemprisonnait et se rendit près de lui. Elle lui massa dabord doucement la poitrine, puis posa sa main sur sa cuisse. Madame Louis observait avec attention le manège du médecin.
- On stoppe deux minutes, Eric, tu respires bien à fond.
Et elle sen alla à son bureau, laissant Madame Louis près du corps nu. Ce qui perturba la grosse dame qui ne savait où poser les yeux
Sabine avait sans doute vu juste
Elle avait beaucoup fantasmé la dame, mais de ce quelle racontait, il y avait tellement peu de réellement vécu ! Les deux minutes lui parurent bien longues, tandis qu'Eric lignorait et, obéissant à Sabine, respirait à longues goulées, et se grattait sans vergogne lentre-jambes.
Sabine sapprocha à nouveau. Elle demanda à Madame Louis de ramasser la serviette et de couvrir le petit oiseau dEric
Ce qui semblait un peu ridicule alors quil était exposé depuis plusieurs minutes
Mais Madame Louis sexécuta, déposant précautionneusement le bout de papier
Ce qui fit rire Sabine
- Mais allez-y, Madame Louis, profitez de loccasion
Vous en avez déjà vécu dautres
Empoignez les choses avec vigueur !
Et joignant le geste à la parole, elle saisit solidement à travers le papier les bijoux dEric
qui sursauta
(Et ce nétait pas feint !) Sabine avait décidé den rajouter un peu !
Une nouvelle séance débuta qui rapidement fit voleter le papier
Séance pendant laquelle, la bite à Eric montra des signes, puis plus que des signes dexcitation
- Cest normal déclara le docteur Sabine,
- Je fais certaines manipulations à hauteur de la colonne vertébrale qui provoquent ce genre de réaction ! Continuez à tirer Madame Louis,
et admirez mon efficacité !
La queue dEric se déployait maintenant dans toute sa splendeur
Mais la douleur revenait et Eric se cambrait à qui mieux mieux, mettant davantage encore en évidence sa plantureuse érection. Il poussait de temps en temps un petit cri ou un râle qui donnait davantage de réalisme à son cinéma.
La doctoresse proposa une pause, demanda a Madame Louis dà nouveau couvrir le sexe dEric ce quelle fit avec la même précaution que la première fois, lérection toujours présente devant sans doute limpressionner davantage ! Puis, Sabine expliqua la suite des opérations.
- Je pense quEric nest pas encore en état pour linstant. Cest la troisième manip qui devrait arranger les choses. Alors, maintenant, 5 minutes de repos, et pendant ce temps, Vous allez me raconter ce qui vous amène Madame Louis.
Et Madame Louis raconta son traditionnel mal de dos, ses difficultés à respirer quand elle faisait trop defforts, et des douleurs aux jambes quand elle se levait le matin.
- Comme dhabitude pensa Sabine qui enchaîna ensuite, conformément au scénario imaginé avec son comparse.
- Voilà ce que je propose : Eric a besoin dune petite demi-heure de repos, ce qui me laisse davantage de temps pour moccuper de vous Madame Louis. Vous allez donc maider à déplacer Eric jusquau divan et ensuite, vous prendrez sa place sur la table, et on va essayer quelque chose
ça vous va ça, Madame Louis ?
Miss Peggy acquiesça.
Il fallut aider Eric à se déplacer
Il y mit évidemment beaucoup de mauvaise volonté, et Sabine en rajouta, demandant notamment à Madame Louis de bien vouloir aider le patient en le saisissant par les hanches pour le faire glisser hors de la table, de telle façon quelle se retrouve nez à nez avec un Popol, dabord caché par la serviette, mais que les mouvements peu orthodoxes pour permettre à Eric de se remettre debout libérèrent rapidement de toute entrave
Eric saccrocha donc, nu, aux épaules des deux dames, et Sabine arriva à faire empoigner les fesses du jeune homme par Madame Louis pour le déposer sur le divan. Eric était alors bien installé dans une nudité quon ne prenait plus la peine de protéger
- À nous ! » sadressa alors le docteur Sabine à Madame Louis.
- Vous vous mettez en sous-vêtements et vous venez vous coucher sur la table !
Madame Louis paru décontenancée. Elle jeta un il désemparé alternativement au jeune homme nu puis à la doctoresse, mais celle-ci fit mine de ne rien voir de son léger désarroi
La dame pris alors son courage à deux mains et demanda si elle devait se déshabiller en sa présence
- Mais Madame Louis, voyons ! Vous nallez pas faire votre mijaurée ! Avec tout ce que vous mavez raconté, ce nest pas ce pauvre jeune homme sans défense aucune qui va vous inquiéter
au contraire même, ça devrait vous plaire
non ?
- S
si
si ! » bredouilla La dame, pas plus convaincue que cela, mais qui prenait conscience quun refus de sa part lobligerait à se dédire de tout ce quelle avait inventé jusquà présent
Et elle se déshabilla
laissant apparaître aux yeux dEric qui ne manquait rien du spectacle, une paire de seins quun soutien-gorge à double voire triple armature retenait péniblement, et une paire de fesses plus fessues que les fesses les plus fessues quil avait eu loccasion de voir
à la télévision
Madame se coucha ensuite, la figure toute rouge, sur la table.
- On va commencer par les jambes
Le docteur examina consciencieusement les gros mollets de la dame
Puis elle proposa sa solution
Des massages réguliers en insistant surtout là et là. Et elle montra deux points du mollets qui devaient davantage être travaillés, et cela avec une pommade que Sabine allait prescrire.
Sabine passa alors au dos
Elle appuya ses pouces sur différents points du dos arrachant parfois un soupir, un sursaut ou un petit cri quand ça faisait plus mal. Sabine semblait plus sceptique. Elle le fit savoir
elle recommença lopération
Puis, sans rien demander, défit lattache du soutien-gorge pour bien dégager le dos
Elle insista quelques secondes avec les pouces, mais ne sembla pas satisfaite. Elle demanda alors à Madame Louis de sasseoir pour la triturer autrement. La patiente hésita mais sexécuta
les bonnets du sac à nénés cachaient encore les seins, mais comme le soutif nétait plus attaché, il nen fallait pas beaucoup pour que sa poitrine se dégage
Cest ce qui se passa quand Sabine poussa sèchement sur un point du dos, ce qui amena la dame à se cambrer. Et ses deux nichons de débouler sous le soutien et à se retrouver à lair libre. Madame Louis fit mine de remballer sa marchandise, mais Sabine lui intima de nen rien faire.
- Ne bougez pas, je pense que je trouve.
Et Madame Louis de rester toute penaude, ses deux énormes pastèques à la vue dEric qui ne manquait rien du spectacle.
Sabine diagnostiqua enfin
- Oui, cest bien le poids de votre poitrine qui demande exagérément defforts aux muscles du dos, et en plus, du fait de ces efforts, la colonne vertébrale a une tendance à se tordre et à coincer légèrement lun ou lautre nerf qui lentourent. Pour ça, y a pas de miracle, exercices soit avec un kiné, soit dans une salle de sports, mais avec un moniteur compétent et des massages, soit avec le kiné, soit avec quelquun dautre mais qui respecterait les consignes que je lui donnerais. Bon, on va passer aux poumons maintenant
et pour ça, cest mieux sans votre soutien
Dailleurs quest-ce que cest que cet accès de pudeur de vouloir cacher cette paire de seins
Vous en êtes fière de ces seins
Cest quand même vous qui mavez raconté quils en avaient fait baver des mecs
Et ce nest quand même pas pour ce petit Eric, qui lui se trouve tout nu devant vous que vous aller faire un drame
Hein Eric, quelle a de sacrés nichons Madame Louis
Hein, dis lui que tu nen as jamais vu de pareils
Et joignant le geste à la parole, elle empoigna vigoureusement la paire de loches de Madame Louis pour les présenter mieux encore à Eric à qui elle avait adressé discrètement un clin dil complice. Puis sadressant à Madame Louis :
- Soyez fière de vos nichons et regardez comme ce jeune homme les apprécie !... Allez, les poumons maintenant
Et le médecin saisit son stéthoscope et commença à ausculter Madame Louis
de façon un peu facétieuse puisquelle ausculta également ses tétons. Miss Peggy, malgré le trouble qui continuait à lenvahir, semblait dans le même temps se détendre
Elle fit mine de se défendre quand le docteur posa son stéthoscope sur les tétons, ce qui entraîna une mini bagarre entre les deux femmes dans un bel éclat de rire
- Jen ai pas fini avec vous, mais il faut que je repasse à Eric, sans ça mes deux premières manip ne serviront à rien
ça va Eric ? Moins mal ?
- Je lsens bien, mais cest supportable ! »
- Et bien, cest de nouveau à toi alors
Tu peux venir tout seul ? Voilà un homme un vrai, viril et tout, qui ne seffarouche pas à la moindre douleur
On en a de la chance hein Madame Louis davoir un homme comme ça avec nous
Et tout nu en plus ! Allez Eric, couche-toi, et Madame Louis, vous lui attz les pieds comme tout à lheure
- Mais, seffraya Madame Louis
il faut que je me rhabille.
- Ah non ! Madame Louis, vous nallez pas recommencer
Eric les trouve supers vos nichons
Vous nallez pas lui gâcher son plaisir
Et de toute façon, je dois encore vous ausculter après ! Jai pas que ça à faire !
Madame Louis se résigna sans protester
Elle fit même un clin dil à Eric, signe que la situation ne lui déplaisait finalement pas
Et la séance repris. Madame Louis tirait les pieds dEric, ces énormes boulets nus titillés par les orteils du jeune homme, qui mine de rien profitait de ce contact, alors quofficiellement, il souffrait
mais le plus discrètement possible. Le docteur Sabine, elle, manipulait le dos de son patient. Puis, après quelques minutes de cet intense travail, Eric poussa un cri plus fort que les autres et Sabine annonça triomphalement :
- On y est !... Souffle bien, Eric et puis, retournes toi
Et Eric de se retourner et de mettre en évidence ces magnifiques fesses de sportif.
- Je vais lui masser le dos pendant deux ou trois minutes, et pendant ce temps, Madame Louis, jai une tâche particulièrement agréable à vous proposer. Vous allez mettre vos mains sur ses fesses et pousser vers la tête
comme ça.
Et Sabine de montrer lexemple.
- Ça vous va comme boulot ça ? Y a plus désagréable, non ?
Et Madame Louis dacquiescer avec le sourire !
Le docteur massa le dos tout en continuant à taquiner Madame Louis qui avait posé ses mains sur les fesses dEric et ses seins sur ses cuisses
La grosse dame samusait maintenant aussi des taquineries
Et comme ça semblait plaire à tout le monde, elle rajouta quelques minutes, avant de déclarer :
- Voilà, cest fini Eric, tu peux tester ton nouveau dos
Et vous la vilaine profiteuse, vous voulez bien lui lâcher son ptit cul ?
Non, mais, petite vicieuse !
Madame Louis ôta ses mains ce dont profita le docteur pour asséner une vigoureuse claque sur les fesses dEric.
- Ah ça, cest un plaisir que jattendais depuis longtemps !
Eric se leva précautionneusement, bougea bras et jambes, fit quelques pas, sautilla
Tout semblait aller pour le mieux. Il enta ma une course dans le cabinet, sauta plus vigoureusement et comme ça se passait bien, il fit un cumulet, puis la roue, puis marcha sur les mains ! Puis il poussa un cri :
- Yessssssssssss !
Manifestement, il allait bien. Il se dirigea vers Sabine, la prit dans ces bras et lui colla un gros bisou sur chaque joue. Puis, il attrapa Madame Louis et entama un pas de valse avec elle en chantant une chanson paillarde quil connaissait bien :
- Dansez, voltigez les birou-outes ! Tralalalala, tralalalala
ce qui effectivement était bien le cas, sa biroute voltigeait sans vergogne. Puis sans que Madame Louis ne sy attende, Il se baissa et déposa un bisou sonore sur chacun de ses tétons ; il la retourna, lui abaissa la culotte, et fit de même sur chacune de ses fesses
- Ouf ! On est en plein délire
est-ce bien déontologique tout ça ? pensa le docteur Sabine.
Mais lesprit était dabord à la fête de la guérison dEric. Une fête un rien décalée on peut lavouer, mais une fête quand même, où Eric samusait de sa propre nudité et de celle de Madame Louis, une fête dans laquelle Madame Louis semblait aussi trouver finalement du plaisir, même si un rien interloqué, une fête ou Sabine arrêtait de se poser des questions, estimant que ces dernières pourraient dans doute trouver une réponse plus tard
Et puis ses patients navaient pas lair de se plaindre !
Les consultations juxtaposées se terminaient. Une dernière auscultation de Madame Louis sous le regard intéressé et les mains baladeuses dEric, mains baladeuses que Madame Louis repoussait en rougissant encore, mais surtout en riant, ce qui amenait Eric à redoubler de persévérance. Le docteur Sabine avait beau proposer au jeune homme de se rhabiller, il ne daignait pas obtempérer et sexhibait davantage dans des positions à la limite de lobscène qui plaisait aussi beaucoup à la grosse dame... Dautant plus, quand la queue du jeune homme se dressait fièrement ! Madame Louis semblait dailleurs aller beaucoup mieux depuis cette séance
Les médicaments annoncés seraient-ils vraiment nécessaires ? Le docteur Sabine nétait-elle pas en train dinventer un traitement finalement moins coûteux à la sécurité sociale ?
Le docteur Sabine clôtura les consultations en rappelant ses prescriptions à Madame Louis, et Eric se proposa pour assurer les massages, en joignant une dernière fois le geste à la parole, pelotant à qui mieux mieux les grosses loches à sa disposition. Le docteur indiqua à Eric quun traitement de précaution et dévaluation, du même ordre que celui pratiqué ce jour, devrait être réalisé un mois plus tard, et ce fut au tour de Madame Louis de proposer son aide indiquant le plaisir quéprouvaient ses yeux à profiter dun tel corps dathlète. Enfin, Le médecin intima lordre à ses deux patients denfin vraiment se rhabiller.
Reste la question
Madame Louis est-elle infirmière ?
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